Biographie :
Max Ernst est né le 2 avril 1891 à Brühl en Allemagne, mort le 1er avril 1976 à Paris.
– Fils du peintre Philipp Ernst, qui lui enseigne la peinture dès l’enfance.
– Études de philosophie à l’Université de Bonn mais abandonne pour se consacrer à l’art.
– Sert dans l’artillerie allemande pendant la Première Guerre mondiale.
Carrière artistique :
– Pionnier des mouvements dadaïste et surréaliste.
– Cofonde le mouvement Dada de Cologne en 1919 avec Arp et Baargeld.
– Développe des techniques innovantes comme le frottage, le collage, les sculptures d’objets.
– Publie en 1929 le roman-collage révolutionnaire “La Femme 100 têtes”.
– Fuit le régime nazi en 1941, émigre aux États-Unis où il épouse Peggy Guggenheim.
– S’installe ensuite en France avec sa 4e femme Dorothea Tanning.
– Reçoit de nombreux honneurs dont le Grand Prix de la Biennale de Venise en 1954.
Style artistique :
– Œuvre marquée par l’onirisme, l’imaginaire, le merveilleux et la remise en cause des conventions.
– Peintures, collages et sculptures explorant l’inconscient et le monde des rêves.
– Considéré comme “l’homme aux possibilités infinies” par André Breton.
– A influencé de nombreux artistes comme Pollock par ses techniques novatrices.
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Regards d’ailleurs
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Petite déconvenue de notre réalité unique programmée
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Fluctuations circadiennes
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Interaction kinesthésique sur un coulis de sauce écarlate
Pourquoi les tyrans, les dictateurs existent-ils encore de nos jours ? Cette composition met en avant les signes de l'oppression que peuvent faire subir certains être humain à leurs congénères...
La légende personnelle
Cette composition incarne symboliquement un peloton de coureurs cyclistes. Des roues combinées entre des courbes rouges, ces tracés nous invites à emprunter un nouveau chemin programmé et semé d'embûches. Dans ce domaine, et plus qu'ailleurs, les comportements de vie sont exacerbés. Pour certains, c'est une lutte pour gagner et surpasser les concurrents, quand pour d'autres, participer et suivre est un défi ! Pour les gagnants, c'est une quête nécessaire qui représentera la preuve d'une existence riche et accomplie.
Dans notre quotidien, ces deux modes d'existence s'opposent ; mener pour exister ou suivre pour survivre. On imagine que quand son présent lui convient, l'homme a peur de son futur. Peut-on aboutir à l'accomplissement de soi à la faveur de notre inconscient ou par la reprogrammation de notre volonté ?
La noce des vanités
La représentation allégorique d'une tête de mort est devenue le reflet symbolique de la vanité. Quoi que l'on fasse, nos vanités sont présentes en nous. Elles font partie intégrante de notre caractère dans la vie sociale. L'humain a été conçu autour de l'amour-propre, l'orgueil, la fierté, la prétention... Cette relation à nous-mêmes peut-elle changer ? Car en effet, si notre évolution est l'aboutissement par l'équilibre de nos doctrines vertueuses, quelle seraient les causes de leurs absences . Cette composition reflète un essai sur le contrôle de nos vanités par le biais d'un voile occultant nos exaltations. Nos vanités nous accordent aucun répit, car à chaque instant, elles font la noce avec nos désirs refoulés.
Hommes pressés
Cette composition met en scène un héros du quotidien qui, pour rentrer dans le moule, doit se vêtir d'une conformité imposée. Pour ne pas sortir du lot, l'habit fera le moine en débouchant sur un prototype prétentieux et narcissique où, à l'inverse, intègre et empathique : Nul ne le sait encore, chacun est responsable de son propre destin. S'intégrer à un parcours conventionnel, pour ensuite s'accorder une distance émotionnelle face aux problèmes géopolitiques. "Qui veut rentrer dans la toile de mon réseau ?" (Noir désir)
Lacs et forêts
Approche cartographique sur la reconnaissance biométrique par liaisons croisées des satellites et caméras de surveillance au déficit de l'anonymat, pour permettre la détection de comportements "anormaux". L'élégance des traits humains disparaît, l'usage de documents d'identité d'état civil devient obsolète. Le résultat se traduit par la constitution d'une carte des déplacements. L'approfondissement vers le "tout technologique" nous conduit-il vers une déshumanisation froide ?