François Boisrond est né le 24 février 1959 à Paris (ou le 24 mars 1959 à Boulogne-Billancourt selon certaines sources). Il est un artiste peintre contemporain français faisant partie du mouvement de la figuration libre aux côtés d’Hervé Di Rosa, Robert Combas et Rémi Blanchard notamment. Formation et débuts :
– Études à l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris de 1977 à 1980, où il rencontre Di Rosa, Combas, etc.
Ses premières toiles des années 80 représentent des scènes de la vie quotidienne de manière colorée et épurée, inspirées de l’art brut et populaire. Style pictural :
– Peinture figurative aux couleurs vives, aux formes simplifiées souvent cernées de noir.
S’inspire des arts populaires comme les affiches, la bande dessinée, tout en revisitant les canons classiques de la peinture.
Travaille parfois à partir de modèles numériques pour recomposer le spectre coloré.
Carrière :
– Professeur de peinture à l’École des Beaux-Arts de Paris à partir de 1999.
Expositions dans de nombreux musées et galeries prestigieuses en France et à l’international.
Collaborations avec des artistes comme Jean-Michel Basquiat, Madonna, création d’affiches, pochettes d’albums, etc.
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Regards d’ailleurs
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Petite déconvenue de notre réalité unique programmée
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Fluctuations circadiennes
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Interaction kinesthésique sur un coulis de sauce écarlate
Pourquoi les tyrans, les dictateurs existent-ils encore de nos jours ? Cette composition met en avant les signes de l'oppression que peuvent faire subir certains être humain à leurs congénères...
La légende personnelle
Cette composition incarne symboliquement un peloton de coureurs cyclistes. Des roues combinées entre des courbes rouges, ces tracés nous invites à emprunter un nouveau chemin programmé et semé d'embûches. Dans ce domaine, et plus qu'ailleurs, les comportements de vie sont exacerbés. Pour certains, c'est une lutte pour gagner et surpasser les concurrents, quand pour d'autres, participer et suivre est un défi ! Pour les gagnants, c'est une quête nécessaire qui représentera la preuve d'une existence riche et accomplie.
Dans notre quotidien, ces deux modes d'existence s'opposent ; mener pour exister ou suivre pour survivre. On imagine que quand son présent lui convient, l'homme a peur de son futur. Peut-on aboutir à l'accomplissement de soi à la faveur de notre inconscient ou par la reprogrammation de notre volonté ?
La noce des vanités
La représentation allégorique d'une tête de mort est devenue le reflet symbolique de la vanité. Quoi que l'on fasse, nos vanités sont présentes en nous. Elles font partie intégrante de notre caractère dans la vie sociale. L'humain a été conçu autour de l'amour-propre, l'orgueil, la fierté, la prétention... Cette relation à nous-mêmes peut-elle changer ? Car en effet, si notre évolution est l'aboutissement par l'équilibre de nos doctrines vertueuses, quelle seraient les causes de leurs absences . Cette composition reflète un essai sur le contrôle de nos vanités par le biais d'un voile occultant nos exaltations. Nos vanités nous accordent aucun répit, car à chaque instant, elles font la noce avec nos désirs refoulés.
Hommes pressés
Cette composition met en scène un héros du quotidien qui, pour rentrer dans le moule, doit se vêtir d'une conformité imposée. Pour ne pas sortir du lot, l'habit fera le moine en débouchant sur un prototype prétentieux et narcissique où, à l'inverse, intègre et empathique : Nul ne le sait encore, chacun est responsable de son propre destin. S'intégrer à un parcours conventionnel, pour ensuite s'accorder une distance émotionnelle face aux problèmes géopolitiques. "Qui veut rentrer dans la toile de mon réseau ?" (Noir désir)
Lacs et forêts
Approche cartographique sur la reconnaissance biométrique par liaisons croisées des satellites et caméras de surveillance au déficit de l'anonymat, pour permettre la détection de comportements "anormaux". L'élégance des traits humains disparaît, l'usage de documents d'identité d'état civil devient obsolète. Le résultat se traduit par la constitution d'une carte des déplacements. L'approfondissement vers le "tout technologique" nous conduit-il vers une déshumanisation froide ?